Le trombinoscope
Le trombinoscope d’entreprise : pourquoi c’est une idée brillante (et pas juste des photos de collègues)
Le trombinoscope : Temps de lecture : env 4 minutes
Avouez, vous pensez que le trombinoscope, c’est un vieux truc poussiéreux qu’on sort pour se rappeler du prénom du gars de l’IT. Eh bien, détrompez-vous ! Ce petit bijou visuel peut devenir un outil redoutablement efficace, si c’est bien fait (et non, des selfies pris à la pause café, ça ne compte pas).
Reconnaître les visages : pour éviter les moments gênants
Vous êtes en réunion, quelqu’un dit : « Demandez à Caroline ». Vous hochez la tête, mais intérieurement, vous vous demandez : C’est qui, Caroline ? Avec un trombinoscope, fini ces moments où vous souriez poliment à quelqu’un sans être sûr qu’il est comptable ou directeur marketing. C’est une boussole sociale qui vous sauve la mise.
Un look qui en jette pour l’entreprise
Un trombinoscope pro, c’est comme un bon tailleur ou une chemise bien repassée : ça respire le sérieux. Des portraits cohérents, lumineux, avec des visages souriants mais pas trop crispés, ça montre que vous êtes organisé, moderne et que vous prenez soin de vos équipes. Vos clients et partenaires apprécieront.
Simplifier les interactions internes (et éviter les emails maladroits)
À qui envoyer ce mail crucial sur la stratégie Q4 ? Si vous pouvez identifier en deux clics qui fait quoi (et mettre un visage sur le titre ronflant de leur poste), c’est gagné. Bonus : ça évite d’envoyer un email à Jean-Claude alors que vous visiez Jean-Christophe.
Des photos réutilisables partout, tout le temps
Site web, LinkedIn, présentation PowerPoint, invitations à un pot de départ… Un trombinoscope bien fichu, c’est un trésor de visuels réutilisables. Plus besoin de demander à vos collaborateurs de chercher « une photo pas trop mal » prise en vacances il y a 7 ans.
Les faux pas à ne surtout pas faire
Un trombinoscope moche, c’est comme arriver à un entretien avec une chemise froissée et une tache de café. Arrière-plans aléatoires, cadrages foireux, éclairage de cuisine… Résultat ? On a l’air d’un groupe amateur au lieu d’une entreprise sérieuse. Faites-vous aider par un photographe qui sait ce qu’il fait (et qui ne vous laissera pas avec un triple menton).
Organiser une séance photo trombinoscope sans (trop) stresser
Trouver le bon spot
Pas besoin de transformer la salle de réunion en studio hollywoodien. Un espace de 20-30 m² avec un fond neutre (gris ou blanc), et c’est parti. Le tout est bien sûr amené par le photographe (moi en l’occurence).
Gérer les troupes
Si vous avez beaucoup de monde à photographier, établissez un planning précis pour éviter que ça devienne un chaos digne d’une file d’attente à la cantine. Et oui, prévoyez aussi de récolter les autorisations pour l’utilisation des photos (parce qu’on n’est pas là pour enfreindre le RGPD ou le droit à l’image).
Un choix en temps réel
Les photos apparaissent directement sur un écran pendant la séance. Vos collègues peuvent choisir celle où ils ont l’air juste assez professionnel, mais détendu. Pas de surprise : tout le monde repart satisfait.
Jusqu’à 100 portraits dans une journée, oui c’est possible (voir plus)
Avec un peu de rigueur et une pincée d’organisation (et peut-être un café pour tenir la cadence), photographier tout un service, voire toute l’entreprise, est jouable en une seule journée.
Intégrer ça à un événement, pourquoi pas ?
Un séminaire, une fête d’entreprise, une journée d’intégration… Profitez d’un moment où tout le monde est déjà réuni. Cela ajoute une touche de fun à une activité souvent perçue comme sérieuse.
Conclusion : le trombinoscope, votre nouvelle arme secrète
En résumé, un trombinoscope bien conçu, c’est comme une bonne playlist : tout le monde s’en sert et s’en félicite. Vous facilitez la communication, renforcez l’identité de votre entreprise et, cerise sur le gâteau, vous montrez au monde que votre équipe est aussi sympa que compétente. Alors, prêt à passer à l’action ?